Ministère de la Justice et des Droits humains,
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  • 𝗦é𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁é 𝗲𝘁 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁𝘀 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝘀 : 30 𝗰𝗼𝗼𝗿𝗱𝗼𝗻𝗻𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗩𝗗𝗣 𝗼𝘂𝘁𝗶𝗹𝗹é𝘀 à 𝗕𝗮𝗻𝗳𝗼𝗿𝗮

    𝗦é𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁é 𝗲𝘁 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁𝘀 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝘀 : 30 𝗰𝗼𝗼𝗿𝗱𝗼𝗻𝗻𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗩𝗗𝗣 𝗼𝘂𝘁𝗶𝗹𝗹é𝘀 à 𝗕𝗮𝗻𝗳𝗼𝗿𝗮 Une session de formation des formateurs s’est tenue dans la cité du Paysan noir, du 30 juin au 3 juillet 2025, dans le cadre du Plan concerté de renforcement des capacités des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) en matière de droits humains. Cette session a réuni une trentaine de coordonnateurs issus des régions du Sud-ouest, des Hauts-bassins et des Cascades. Elle entendait professionnaliser les pratiques des VDP pour une sécurité durable, éthique et respectueuse des droits fondamentaux. À travers des modules interactifs portant sur la protection des groupes vulnérables, la prévention des discriminations, le respect de la dignité humaine et la gestion du stress en contexte opérationnel, les participants ont renforcé leurs compétences pour mieux encadrer et sensibiliser leurs équipes. Le taux de connaissances est passé de 79 % à 93 %, selon les résultats du post-test, traduisant une assimilation effective des contenus dispensés.  Le capitaine de police Noufé Tangba, porte-parole des participants, a salué une formation « riche et hautement instructive », soulignant qu’elle constitue un levier essentiel pour inscrire durablement les droits humains au cœur des engagements sécuritaires communautaires.  Conformément à sa vision stratégique, la DEDHP prévoit d’étendre ce dispositif dans neuf autres régions, renforçant ainsi sa dynamique d’action en faveur d’une sécurité de proximité porteuse de valeurs républicaines et citoyennes. #FormationDeCoordonnateursDeVDP #RespectDesDroitsHumains #SécuritéCommunautaire #DEDHP #HCDH  #BVDP  𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜

  • 𝗠𝗲 𝗘𝗱𝗮𝘀𝘀𝗼 𝗥𝗼𝗱𝗿𝗶𝗴𝘂𝗲 𝗕𝗔𝗬𝗔𝗟𝗔 à 𝗹𝗮 𝗧𝗿𝗶𝗯𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗱𝗲𝘃𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁é : 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗮𝗻𝘀 𝗱’𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲 𝗯𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮𝗯è 𝗿é𝗳𝗼𝗿𝗺é𝗲, 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗶𝗴𝗻𝗲

    𝗠𝗲 𝗘𝗱𝗮𝘀𝘀𝗼 𝗥𝗼𝗱𝗿𝗶𝗴𝘂𝗲 𝗕𝗔𝗬𝗔𝗟𝗔 à 𝗹𝗮 𝗧𝗿𝗶𝗯𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗱𝗲𝘃𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁é : 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗮𝗻𝘀 𝗱’𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲 𝗯𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮𝗯è 𝗿é𝗳𝗼𝗿𝗺é𝗲, 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗶𝗴𝗻𝗲 L’émission Tribune de redevabilité, diffusée en direct sur les antennes de la RTB, recevait ce mardi 1er juillet 2025 comme invité, Me Edasso Rodrigue BAYALA, Ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Garde des Sceaux. Face aux caméras, le ministre a dressé un bilan clair et ambitieux des deux dernières années, marquées par une volonté affirmée de refonder la justice burkinabè sur des bases culturelles solides, modernes et inclusives. Une justice réconciliée avec les réalités du pays D’entrée de jeu, le ministre a abordé les innovations du code de procédure pénale récemment adopté par l’ALT. Il a insisté sur la nécessité d’adapter le système judiciaire aux spécificités socioculturelles du Burkina Faso. Cette volonté s’est traduite par une réforme pour l’introduction des langues nationales dans les salles d’audience, réduisant ainsi le besoin systématique d’interprètes, mais aussi par la reconnaissance des mécanismes endogènes de règlement des différends. Le Travail d’intérêt général (TIG) a été institué comme alternative à l’incarcération pour les infractions mineures, tandis que la visioconférence deviendra progressivement un outil courant dans le traitement des affaires. Autre innovation majeure : l’élargissement du Conseil supérieur de la magistrature à des membres non magistrats, pour plus de représentativité et de crédibilité. Des résultats judiciaires qui parlent d’eux-mêmes En termes de performances, le ministère enregistre des chiffres éloquents. Plus de 8195 dossiers correctionnels ont été jugés en seulement 55 jours, dépassant largement la moyenne annuelle des trois dernières années qui se situe à autour de 7000 dossiers. La lutte contre les crimes économiques s’est intensifiée, avec près de 300 dossiers jugés, portant sur un montant cumulé de 83 milliards FCFA et concernant la saisie de 71 biens, incluant immeubles, véhicules et métaux précieux. Les pôles de lutte contre les infractions économiques et financières (pôles ECOFI) se portent également bien avec 286 dossiers jugés de 2023 au 31 mai 2025. Sur le front sécuritaire, près de 350 personnes ont été jugées pour des actes de terrorisme, tandis que plus de 1000 conflits communautaires ont été résolus de manière pacifique, témoignant d’une justice active dans la préservation de la cohésion sociale. Le virage numérique de la justice Le processus de modernisation judiciaire a franchi une étape décisive avec la mise en service du e-casier judiciaire et du e-certificat de nationalité. L’objectif est de simplifier et d’accélérer l’accès aux actes judiciaires, tout en favorisant la transparence. Cette dynamique s’est accompagnée de la réinstallation de quatre Tribunaux de grande instance (TGI) dans leur ressort d’origine et de la réduction de la distance moyenne pour accéder à un TGI, passée de plus 66km en 2022 à 59 kilomètres en 2025 avec l’ouverture prochaine du TGI de Nouna. En outre, il a été créé auprès de chaque TGI, un tribunal de travail pour rapprocher davantage la justice du justiciable pour ce qui concerne la matière sociale. Une identité nationale assumée Sur le plan symbolique, la dotation des magistrats en tenues d’audience confectionnées en Faso Danfani marque une volonté forte de souveraineté culturelle et d’appropriation nationale du service public de la justice. Législation et gouvernance : une trajectoire assumée Plus de cent lois ont été suivies et adoptées par l’Assemblée législative de Transition, dans le but de renforcer la gouvernance et les fondations de l’État. Parallèlement, plusieurs institutions ont été restructurées, certaines supprimées, dans une démarche de rationalisation et d’efficience. L’Agence nationale des avoirs saisis ou confisqués, devenue opérationnelle, affiche un compte d’attente de près de 3 milliards FCFA en quatre mois, signe d’une gestion accrue du patrimoine judiciaire. Le pilier humain au cœur des réformes La formation massive de plus de 56 000 Volontaires pour la défense de la patrie, 2000 Forces de défense et de sécurité, et 10 000 autres acteurs en droits humains démontre que l’approche ministérielle privilégie aussi la prévention et l’éducation. À cela s’ajoutent plus de deux millions de citoyens sensibilisés aux valeurs de civisme et de citoyenneté. Un regain de confiance populaire Toutes ces réformes ont porté leurs fruits en matière de perception citoyenne. Le taux de satisfaction globale de la population vis-à-vis de la justice est passé de 52% en 2020 à 63 % en 2023 soit une hausse de plus de 10 points de pourcentage confirmant que les efforts engagés trouvent un écho favorable auprès des Burkinabè. Une dynamique à consolider  Me BAYALA conclut son exercice de redevabilité sur une note de responsabilité et d’ouverture : il s’agit désormais de consolider les acquis, d’amplifier les actions en faveur d’une justice équitable, accessible et profondément humaine. Une justice qui, progressivement, cesse d’être perçue comme lointaine pour devenir un levier essentiel de confiance et de paix sociale. 𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜

  • 𝗟𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗼𝗿𝗶𝘀𝗺𝗲 𝗲𝘁 r𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁𝘀 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝘀 : 𝗹𝗲 𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜 𝗿𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗽𝗮𝗰𝗶𝘁é𝘀 𝗱𝗲 30 𝗰𝗼𝗼𝗿𝗱𝗼𝗻𝗻𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗩𝗗𝗣 à 𝗕𝗮𝗻𝗳𝗼𝗿𝗮

    𝗟𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗼𝗿𝗶𝘀𝗺𝗲 𝗲𝘁 r𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁𝘀 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝘀 : 𝗹𝗲 𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜 𝗿𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗽𝗮𝗰𝗶𝘁é𝘀 𝗱𝗲 30 𝗰𝗼𝗼𝗿𝗱𝗼𝗻𝗻𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗩𝗗𝗣 à 𝗕𝗮𝗻𝗳𝗼𝗿𝗮 Dans le cadre de la mise en œuvre du Plan concerté de renforcement des capacités des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) en matière de droits humains, une session de formation des formateurs se tient à Banfora du 30 juin au 3 juillet 2025. Elle regroupe une trentaine de coordonnateurs et de cadres des VDP issus des régions du Sud-Ouest, des Hauts-Bassins et des Cascades. Initiée par le ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions (MJDHRI), à travers la Direction de l’éducation aux droits humains et du partenariat (DEDHP), cette session est organisée en collaboration avec la Brigade des VDP (BVDP), avec l’appui technique et financier du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH). Elle constitue la vingt-troisième session depuis le lancement du Plan en 2023. Cette formation vise à doter les responsables des VDP de compétences solides afin qu’ils soient des relais efficaces des bonnes pratiques en matière de droits humains, dans le contexte sensible de la lutte contre le terrorisme. Présidant l’ouverture des travaux, Agnès BAYILI/BASSONO, DEDHP, a transmis les encouragements du Directeur général des droits humains à tous les participants. Elle les a exhortés à s’investir pleinement dans les échanges, rappelant avec insistance que : « Les VDP sont les principaux bénéficiaires de cette formation. Nous comptons sur vous, les coordonnateurs, pour porter ce message sur le terrain et contribuer à la réussite de notre mission commune. » Les modules sont assurés par une équipe pluridisciplinaire composée d’experts en droits humains, de spécialistes des questions sécuritaires, d’un psychologue expert en gestion du stress, ainsi que de représentants du MJDHRI, de la BVDP, du parquet militaire et d’agences onusiennes. Une attention particulière a été portée à la dimension genre dans la sélection des formateurs.  Au programme, onze modules axés notamment sur l’intégration des droits humains dans les opérations de lutte contre le terrorisme, dans le respect du cadre juridique national et international. Cette initiative s’inscrit dans une dynamique de professionnalisation et de responsabilisation des VDP, en tant qu’acteurs de première ligne de la sécurité communautaire et garants du respect des droits fondamentaux. #FormationDeCoordonnateursDeVDP #HCDH #BVDP #DGDH #DEDHP 𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜

  • 𝗝𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗼𝗽é𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 : 𝗹’𝗜𝗗𝗟𝗢 𝗿𝗲𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘂𝘅 𝗰ô𝘁é𝘀 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼

    𝗝𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗼𝗽é𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 : 𝗹’𝗜𝗗𝗟𝗢 𝗿𝗲𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘂𝘅 𝗰ô𝘁é𝘀 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝗙𝗮𝘀𝗼 Le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Me Edasso Rodrigue BAYALA, a reçu en audience, ce lundi 30 juin 2025 à Ouagadougou, une délégation de l’Organisation internationale pour le développement du droit (IDLO). Conduite par son représentant résident, Patrick NDIKUMANA, cette visite visait à informer le ministre de l’extension du programme « Appui intégré aux systèmes de justice pénale du Mali, du Burkina Faso et du Niger », financé par le Royaume des Pays-Bas, et à lui témoigner la reconnaissance de l’IDLO. La nouvelle phase du programme, prévue du 1er juillet au 31 décembre 2025, bénéficiera au ministère de la Justice, à la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) et à une Organisation de la société civile (OSC). Elle vise à consolider les acquis en matière d’accès à la justice, de protection des droits et de renforcement des capacités. Patrick NDIKUMANA a salué la qualité du partenariat engagé depuis décembre 2019, soulignant l’engagement du ministre BAYALA en faveur d’une justice plus accessible. Il a réaffirmé la volonté de son organisation de poursuivre cette collaboration dans un esprit inclusif, pragmatique et durable. En retour, le Garde des Sceaux a exprimé sa satisfaction quant à l’appui technique et financier de l’IDLO, notamment dans l’organisation des audiences foraines qui ont rapproché la justice des justiciables, surtout en milieu rural. Il a souhaité l’élargissement de ce soutien à l’opération « Casiers vides », destinée à désengorger les juridictions. Me BAYALA a également plaidé pour un accompagnement renforcé des acteurs de la chaîne pénale, particulièrement dans la mise en œuvre du nouveau Code de procédure pénale, tout en insistant sur l’importance du soutien aux mécanismes de recouvrement des amendes, gage d’efficacité et de crédibilité du système judiciaire. Pour mémoire, l’IDLO est une organisation intergouvernementale créée en 1983, ayant son siège à Rome et des bureaux à La Haye, Genève et New York. Elle œuvre à la promotion de l’État de droit et de la bonne gouvernance dans les pays en développement, en transition ou sortant de conflits armés. 𝗗𝗖𝗥𝗣–𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜

  • 𝗔𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 : 𝗟𝗲 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗘𝗱𝗮𝘀𝘀𝗼 𝗥𝗼𝗱𝗿𝗶𝗴𝘂𝗲 𝗕𝗔𝗬𝗔𝗟𝗔 é𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘂𝗻𝗲 𝗱é𝗹é𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗕𝗹𝗮𝗰𝗸 𝗽𝗼𝘄𝗲𝗿 𝗺𝗼𝘃𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁

    𝗔𝘂𝗱𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 : 𝗟𝗲 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗘𝗱𝗮𝘀𝘀𝗼 𝗥𝗼𝗱𝗿𝗶𝗴𝘂𝗲 𝗕𝗔𝗬𝗔𝗟𝗔 é𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘂𝗻𝗲 𝗱é𝗹é𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗕𝗹𝗮𝗰𝗸 𝗽𝗼𝘄𝗲𝗿 𝗺𝗼𝘃𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 Le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA, a accordé, ce lundi 30 juin 2025 à Ouagadougou, une audience à une délégation du Black Power Movement, conduite par son leader, Elder M’ Mojr AJABO. Lors de cet échange, le chef de la délégation a rappelé l’engagement historique du mouvement dans le soutien aux leaders africains ayant marqué la lutte contre les systèmes coloniaux, à l’image des présidents Sékou TOURE de la Guinée et Modibo KÉÏTA du Mali. Au cours de la rencontre, les visiteurs ont salué les actions du Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, en faveur de l’indépendance et de la résilience nationale, tout en exprimant leur appréciation pour les réformes portées par le ministre BAYALA en faveur d’une justice plus libre et indépendante. « 𝑵𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒅𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒕𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒍𝒆 𝒎𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕è𝒓𝒆 𝒃𝒖𝒓𝒌𝒊𝒏𝒂𝒃è 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑱𝒖𝒔𝒕𝒊𝒄𝒆, 𝒆𝒕 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒗𝒆𝒏𝒖𝒔 𝒓𝒆𝒄𝒖𝒆𝒊𝒍𝒍𝒊𝒓 𝒔𝒆𝒔 𝒃𝒆𝒔𝒐𝒊𝒏𝒔 », a affirmé Elder M’ Mojr AJABO. En retour, Me BAYALA a exprimé sa profonde reconnaissance pour cette démarche amicale et panafricaniste, qu’il a qualifiée de levier stratégique dans la dynamique de libération du Burkina Faso à travers une justice moderne et efficace, conforme à la vision du Président du Faso. Le ministre a réitéré l’importance de la justice dans la lutte contre le terrorisme, insistant sur l’engagement de son département à promouvoir un État de droit fort. Il a également présenté les priorités actuelles du ministère, articulées autour de trois axes majeurs : l’accès équitable à la justice, la protection renforcée des droits humains, et l’adoption de lois structurantes. Pour y parvenir, il a souligné la nécessité d’une transformation numérique ambitieuse et d’un renforcement des capacités du personnel judiciaire. En rappel, le Black power est un mouvement social bâti et dirigé par des anglophones noirs animés d’un esprit révolutionnaire. Il regroupe aujourd’hui plusieurs organisations engagées dans la défense de la souveraineté africaine. Au Burkina Faso, ses membres, connus sous l’appellation « Les Amis du Capitaine Ibrahim TRAORÉ », réaffirment leur volonté d’accompagner activement le pays dans sa quête d’émancipation totale du joug impérialiste. 𝗗𝗖𝗥𝗣–𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜

  • 𝗝𝗣𝗢 𝗕𝗼𝗯𝗼 2025 : 𝘂𝗻𝗲 𝗱𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 à 𝗽é𝗿𝗲𝗻𝗻𝗶𝘀𝗲𝗿

    𝗝𝗣𝗢 𝗕𝗼𝗯𝗼 2025 : 𝘂𝗻𝗲 𝗱𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 à 𝗽é𝗿𝗲𝗻𝗻𝗶𝘀𝗲𝗿 Les 26 et 27 juin 2025, la ville de Sya a accueilli les Journées portes ouvertes (JPO) de la justice, sous le haut patronage du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Me Edasso Rodrigue BAYALA. Cette initiative inédite visait à rapprocher l’institution judiciaire des citoyens, en offrant un cadre d’échange direct, transparent et instructif.   Dans une ambiance conviviale et instructive, les visiteurs ont pu découvrir, à travers des expositions de stands, des conférences thématiques et des rencontres avec les professionnels du secteur, les missions, les métiers et les enjeux du service public de la justice.   La forte affluence enregistrée témoigne de l’intérêt du public, particulièrement pour le thème phare sur le Travail d’intérêt général (TIG), enrichi par le partage d’expériences menées à Baporo. Le second sous-thème, consacré à la Contribution des sociétés minières au développement économique et social du Burkina Faso, a également suscité un grand intérêt.   Ces communications ont été brillamment assurées par Issa KONATÉ, juge d’application des peines au TGI de Banfora, et Issa THANOU, contrôleur GSP, pour le premier thème, ainsi que par OUEDRAOGO Nassé, directeur de la performance sociale de Houndé Gold, pour le second. Elles traduisent une volonté partagée de repenser l’exécution des peines privatives de liberté au profit d’une réinsertion socio-professionnelle efficace, tout en valorisant l’engagement des acteurs miniers dans le développement local.   À titre illustratif, il a été relevé que 76 détenus, soumis au régime du TIG, ont été placés à la SN SOSUCO. Leur prestation a été saluée par la structure d’accueil, qui a exprimé le souhait de renouveler l’expérience, allant jusqu’à envisager des recrutements au sein des bénéficiaires du programme.   Animés par un esprit d’ouverture, les différents corps professionnels de la justice ont présenté au public leurs missions et outils, instaurant ainsi un climat de confiance et de transparence. Au terme de ces deux journées, le Procureur Général près la Cour d’appel de Bobo-Dioulasso, Adama KAFANDO, s’est dit « satisfait » de la tenue de l’événement, saluant l’esprit d’initiative et l’importance de la proximité avec les citoyens. Rappelant les propos du Garde des Sceaux selon lesquels « la justice doit être plus proche des justiciables », le patron du parquet près la Cour d’appel de Bobo a insisté sur la nécessité de renforcer la communication, d’élargir la portée des éditions futures et de multiplier les actions de terrain, notamment dans les centres communaux. Une vision partagée par les participants. Pour dame RABO Alimata, citoyenne engagée, ces journées constituent « une aubaine et un gage de crédibilité ». Elle plaide pour l’implantation de points focaux juridiques au sein des structures associatives et de veille citoyenne, en tant que relais de proximité, capables de vulgariser les droits et devoirs des citoyens. Toute chose qui va induire un impact positif sur le comportement de la population de façon générale.   En somme, cette première édition des JPO à Bobo-Dioulasso pose les jalons d’un dialogue renouvelé et inclusif entre la justice et les populations. Le prochain défi consistera à capitaliser cette dynamique et à l’étendre à l’ensemble des juridictions du pays.  #Travail_dintérêt_général #Réinsertion_socioprofessionnelle #Contribution_minière #Justice_et_développement #Initiative_à_pérenniser #Justice_durable  #Nouvelle_vision_judiciaire#Réforme_participative  #Justice_en_mouvement 𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜  

  •  𝗝𝗣𝗢 𝟮𝟬𝟮𝟱 : À 𝗕𝗼𝗯𝗼, 𝗹𝗮 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲 𝘀𝗲 𝗱é𝘃𝗼𝗶𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗿𝗮𝗳𝗳𝗲𝗿𝗺𝗶𝘁 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗰𝗶𝘁𝗼𝘆𝗲𝗻𝗻𝗲

    𝗝𝗣𝗢 𝟮𝟬𝟮𝟱 : À 𝗕𝗼𝗯𝗼, 𝗹𝗮 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲 𝘀𝗲 𝗱é𝘃𝗼𝗶𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗿𝗮𝗳𝗳𝗲𝗿𝗺𝗶𝘁 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗰𝗶𝘁𝗼𝘆𝗲𝗻𝗻𝗲 Dans le but de restaurer la confiance des citoyens envers l’institution judiciaire, le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Me Edasso Rodrigue BAYALA, a procédé ce jeudi 26 juin 2024 au lancement officiel des Journées Portes Ouvertes (JPO) de la justice, au Palais de Justice de Bobo-Dioulasso.   Organisée avec le soutien financier de la société Houndé Gold Operation SA et sous le parrainage d’acteurs engagés tels que Lassina DIAWARA, cette première édition s’inscrit pleinement dans la mise en œuvre de la politique pénale 2024-2027 du gouvernement burkinabè. Elle vise à promouvoir une justice plus accessible, lisible et connectée aux réalités du peuple.   Dans son discours d’ouverture, Me BAYALA a donné le ton : « 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐢𝐱 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐲𝐬. »  Un appel à l’unité et à la mobilisation citoyenne autour d’une justice perçue comme vecteur de cohésion sociale et de résilience nationale.   Le ministre a ensuite affirmé la volonté de démystifier l’institution judiciaire : « 𝐄𝐧 𝐯𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭 à 𝐁𝐨𝐛𝐨 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢, 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐯𝐢𝐨𝐧𝐬 à 𝐥’𝐞𝐬𝐩𝐫𝐢𝐭 𝐝𝐞 𝐛𝐫𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐜𝐞 𝐦𝐲𝐭𝐡𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐞𝐧𝐭𝐨𝐮𝐫𝐞 𝐥’𝐚𝐩𝐩𝐚𝐫𝐞𝐢𝐥 𝐣𝐮𝐝𝐢𝐜𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞. 𝐈𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐧é𝐜𝐞𝐬𝐬𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞𝐫 𝐝𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭𝐚𝐠𝐞 𝐚𝐟𝐢𝐧 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐩𝐥𝐞, 𝐚𝐮 𝐧𝐨𝐦 𝐝𝐮𝐪𝐮𝐞𝐥 𝐥𝐚 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐮𝐞, 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐬𝐞𝐬 𝐫è𝐠𝐥𝐞𝐬, 𝐬𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐧𝐜𝐢𝐩𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐚𝐢𝐧𝐬𝐢 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐫ô𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭é𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐢𝐟𝐟é𝐫𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐡𝐚î𝐧𝐞 𝐣𝐮𝐝𝐢𝐜𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞. »   Avec chaleur et reconnaissance, Me BAYALA a salué la mobilisation exemplaire de la population bobolaise et l’implication active des parrains et coparrains, artisans discrets du succès de cette initiative.   La cérémonie s’est prolongée par une conférence inaugurale animée par le professeur Bazile GUISSOU, sociologue politique, autour du thème : « Justice et construction de la paix sociale », suivie d’une communication sur le Travail d’intérêt général (TIG), posant ainsi les jalons d’un débat enrichissant et tourné vers l’avenir.   Entouré de ses collaborateurs et d’invités de marque, le Garde des Sceaux a parcouru les stands d’exposition, véritables vitrines du savoir-faire des professionnels du droit et des Officiers de police judiciaire (OPJ). Ceux-ci y ont exposé missions, outils et expertises, illustrant une justice active, concrète et au service des citoyens.   Les JPO se poursuivent ce vendredi 27 juin 2025, avec un programme étoffé de conférences, dont celle dédiée à « La contribution des sociétés minières au développement socio-économique du Burkina Faso », et d’expositions thématiques qui renforceront le dialogue entre justice, société civile et partenaires du développement.   #JPOBobo2025  #JusticeCitoyenne  #JusticePourTous  #PaixEtJustice  #OPJ  #CohésionNationale  #CourdAppel   𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜

  • 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱’É𝘁𝗮𝘁 : 𝗗𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗺𝗮𝗴𝗶𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝘀 𝗶𝗻𝘀𝘁𝗮𝗹𝗹é𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻𝗲 𝗱𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗱𝗲𝗿𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻

    𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗱’É𝘁𝗮𝘁 : 𝗗𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗺𝗮𝗴𝗶𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝘀 𝗶𝗻𝘀𝘁𝗮𝗹𝗹é𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻𝗲 𝗱𝘆𝗻𝗮𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗱𝗲𝗿𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 (Ouagadougou, jeudi 26 juin 2025) En audience solennelle tenue ce jeudi, le Conseil d’État a procédé à l’installation officielle de nouveaux magistrats, sous la présidence de Édilbert SOME, Premier président du Conseil d’État. À cette occasion, deux magistrats nouvellement nommés ont prêté serment devant la Cour, en déclarant solennellement :  « Je jure et promets de bien et et fidèlement remplir mes fonctions, de veiller au respect des droits et libertés, de garder religieusement le secret des délibérations et de me conduire en digne et loyal magistrat. » Par ce serment, ils intègrent pleinement le corps de la magistrature administrative, affirmant leur engagement au service de l’État de droit et des valeurs d’équité et de justice. La même audience a également marqué l’entrée en fonction de cinq conseillers nouvellement nommés au Conseil d’État :  – Boureima YAMEOGO  – Édouard KIEMDE  – Tierno Oumar COULIBALY  – Lamoussa YAO  – Souleymane HEMA  Ont aussi été installés :  – Wahoudou SANGA, promu président de chambre  – Sakma Christophe SIMPORE, nommé greffier en chef, chef de greffe du Conseil d’État. Dans son allocution, le Premier président Édilbert SOME a adressé ses félicitations aux promus, les invitant à s’investir avec détermination dans la modernisation de la justice administrative. Il a souligné que cette ambition constitue une exigence démocratique majeure visant à rapprocher l’institution des justiciables et à renforcer durablement la confiance des citoyens dans l’État de droit. Il a en outre rappelé que cette mission requiert rigueur, célérité, impartialité et un engagement constant au service de l’intérêt général. Cette cérémonie s’inscrit pleinement dans l’élan de refondation de l’institution judiciaire, porté avec conviction par le Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA. Elle traduit concrètement la mise en œuvre de la vision ambitieuse du Chef de l’État, qui aspire à une justice plus efficace, plus proche des citoyens et résolument crédible. #ConseildÉtat #PrestationDeSerment 𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜

  • 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹 𝗔𝗨𝗣𝗦𝗥𝗩𝗘 : 𝗹𝗲 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝘁𝗿𝗮𝗰𝗲 𝗹𝗮 𝘃𝗼𝗶𝗲 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲 é𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗲

    𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹 𝗔𝗨𝗣𝗦𝗥𝗩𝗘 : 𝗹𝗲 𝗕𝘂𝗿𝗸𝗶𝗻𝗮 𝘁𝗿𝗮𝗰𝗲 𝗹𝗮 𝘃𝗼𝗶𝗲 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲 é𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗲 Ce jeudi 26 juin 2025, le ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, à travers le Secrétariat permanent de la Commission nationale OHADA (SP-CONAHDA), a donné le coup d’envoi d’une session de formation sur les innovations de l’Acte uniforme relatif aux procédures simplifiées de recouvrement et des voies d’exécution (AUPSRVE). Avec l’appui financier du Barreau du Burkina Faso, cette session rassemble 58 acteurs du monde judiciaire, professionnel et économique, pour deux jours d’immersion dans un texte rénové, entré en vigueur le 14 février 2024, et porteur de promesses pour une justice plus rapide, plus équitable et mieux adaptée aux exigences contemporaines.  Cette rencontre d’échanges a notamment pour objectif de favoriser une appropriation pleine et entière des nouvelles règles, d’harmoniser les pratiques sur le terrain et de stimuler une meilleure efficacité dans la mise en œuvre des procédures de recouvrement. Présidant la cérémonie au nom du Garde des sceaux, le Secrétaire permanent du SP CONAHDA, Valery Jean Prosper SILGA a salué l’engagement du Burkina Faso, membre fondateur de l’OHADA, en faveur de la modernisation du droit des affaires. Il a insisté sur la nécessité, pour les praticiens, de s’approprier ces nouvelles règles, afin d’harmoniser les pratiques et d’optimiser les procédures de recouvrement. L’objectif est clair : doter les professionnels d’outils juridiques efficaces pour sécuriser les transactions et renforcer l’attractivité économique du pays. Adopté le 17 octobre 2023 à Kinshasa, ce nouvel AUPSRVE marque une refonte majeure, 25 ans après le texte initial. Il corrige des failles notoires telles que le faible recours à l’injonction de payer ou la difficulté d’accès aux informations sur les biens des débiteurs. Parmi les avancées notables figurent l’introduction d’un chapitre sur les dispositions communes, la prise en compte des monnaies numériques, et de nouvelles mesures comme la saisie du fonds de commerce, des effets en coffre-fort ou encore du bétail et des biens meubles corporels. Au-delà de la formation, cette session représente une véritable plateforme d’échanges et de co-construction entre magistrats, greffiers, avocats, huissiers, notaires et acteurs économiques. Elle s’inscrit dans une dynamique de renforcement de la sécurité juridique et judiciaire, fondement d’un climat des affaires sain. En dotant ces praticiens et ces acteurs du monde économique de connaissances et d’outils nécessaires pour une application efficace du nouvel AUPSRVE, le Burkina Faso affiche une ambition claire : faire du nouveau texte un levier au service de la justice économique et de la confiance des investisseurs, en inscrivant l’action judiciaire burkinabè dans une dynamique d’efficience et de modernité. Il démontre aussi son engagement à faire de la justice un levier de développement et d’intégration régionale au sein de l’espace OHADA. 𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛

  • 𝗥é𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗼𝗽𝘂𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗮𝗿𝗰é𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗿é𝗶𝗻𝘀𝗲𝗿𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗼-𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 : 𝗹𝗲 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗕𝗔𝗬𝗔𝗟𝗔 𝗲𝗻 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 à 𝗕𝗮𝗽𝗼𝗿𝗼

    𝗥é𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗼𝗽𝘂𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗮𝗿𝗰é𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗿é𝗶𝗻𝘀𝗲𝗿𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗼-𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 : 𝗹𝗲 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗕𝗔𝗬𝗔𝗟𝗔 𝗲𝗻 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 à 𝗕𝗮𝗽𝗼𝗿𝗼 En partance pour la ville de Sya, où il prendra part aux Journées portes ouvertes de la justice organisées par la Cour d’appel de Bobo-Dioulasso, le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA, a marqué un arrêt stratégique, ce mercredi 25 juin 2025 au Centre pénitentiaire agricole de Baporo (CPAB). Le ministre était accompagné d’une importante délégation, comprenant notamment son Directeur de cabinet, Bepoadi SININI et le Directeur général de l’administration pénitentiaire, l’Inspecteur de sécurité pénitentiaire divisionnaire, Sabila SAWADOGO. Cette visite s’inscrit dans une dynamique de suivi et de valorisation des actions de réinsertion socio-professionnelle fondées sur le Travail d’intérêt général (TIG), tout en adressant un message d’encouragement aux acteurs engagés sur le terrain.  Accueilli chaleureusement par les responsables du centre, Me BAYALA a salué les efforts conjugués des équipes encadrantes et des personnes détenues qui exécutent leurs peines avec ardeur. Ces dernières se sont d’ailleurs dites reconnaissantes envers le Chef de l’État, dont la vision d’une justice plus réparatrice que répressive, incarnée par le Garde des Sceaux, leur permet d’entrevoir une seconde chance, fondée sur l’utilité sociale et la dignité retrouvée. Des chantiers de construction en vue d’élargir les capacités d’accueil du centre, aux champs de bananiers et de cacaoyers, en passant par un ambitieux programme d’extension des superficies cultivables dans le cadre de la campagne agricole 2025, tout a retenu l’attention du ministre. Ces réalisations concrètes traduisent un engagement réel en faveur d’une réhabilitation par le travail productif. À l’issue de sa visite, le Garde des Sceaux a tenu à saluer avec force l’engagement de l’Unité pénitentiaire Combattante (UPCO), mobilisée dans la lutte pour la sécurité nationale. « 𝑳𝒂 𝒎𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆𝒖𝒓𝒆 𝒎𝒂𝒏𝒊è𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒉𝒐𝒎𝒎𝒂𝒈𝒆 à 𝒖𝒏 𝒄𝒂𝒎𝒂𝒓𝒂𝒅𝒆 𝒕𝒐𝒎𝒃é 𝒂𝒖 𝒇𝒓𝒐𝒏𝒕, 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒗𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒓𝒎𝒆 𝒆𝒕 𝒅’𝒂𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒂𝒖 𝒄𝒐𝒎𝒃𝒂𝒕 », a-t-il déclaré avec conviction. Cette visite à Baporo, illustre une volonté politique forte de faire du TIG un véritable levier de réinsertion et une réponse durable au désengorgement des établissements pénitentiaires. 𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜

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