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  • 𝐉𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 : 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐜𝐡𝐚î𝐧𝐞 𝐩é𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐮 𝐓𝐆𝐈 𝐎𝐮𝐚𝐠𝐚 𝐈 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐥𝐚𝐯𝐞

    𝐉𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 : 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐜𝐡𝐚î𝐧𝐞 𝐩é𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐮 𝐓𝐆𝐈 𝐎𝐮𝐚𝐠𝐚 𝐈 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐥𝐚𝐯𝐞 Ouagadougou, 25 novembre 2025 — Le Tribunal de grande instance de Ouaga I a ouvert ce mardi la première réunion ordinaire du Cadre de concertation des acteurs de la chaîne pénale pour l’année judiciaire 2025–2026. Une rencontre stratégique, présidée par le Procureur du Faso près le TGI Ouaga I, M. Blaise BAZIÉ, et marquée par la présence du Contrôleur Général d’État de l’ASCE-LC, du Procureur Général près la Cour d’appel, de magistrats, d’OPJ, ainsi que des partenaires IDLO et Terre des Hommes.   Cette session intervient dans un contexte de profonde mutation juridique, portée par les lois n°008-2025/ALT et n°009-2025/ALT, en vigueur depuis le 20 juin 2025. Des textes qui refondent en profondeur l’organisation judiciaire et la procédure pénale au Burkina Faso.   Parmi les innovations majeures figurent la médiation pénale pour les majeurs, la convention judiciaire d’intérêt public applicable aux personnes morales, la composition pénale, le nouveau statut de témoin assisté, l’amélioration du régime des saisies pénales.   Pendant deux jours, les acteurs de la chaîne pénale vont analyser ces réformes, renforcer leurs compétences, harmoniser leurs pratiques et anticiper les défis liés à leur mise en œuvre. L’objectif : formuler des recommandations concrètes pour une justice plus efficace et mieux adaptée aux réalités du pays.   Dans son allocution d’ouverture, le Procureur du Faso a souligné la portée stratégique de ces transformations :    « Ces réformes nous fournissent des outils modernes et adaptés aux défis sécuritaires, économiques et sociaux, de la criminalité organisée à la protection des mineurs. Il nous revient désormais de les maîtriser et de les appliquer avec rigueur, dans l’intérêt supérieur de la justice et de la Nation », a affirmé M. Blaise BAZIÉ.   En lançant cette concertation, le TGI Ouaga I réaffirme sa volonté de renforcer la cohésion de la chaîne pénale et de bâtir une justice plus moderne, plus accessible et résolument tournée vers la performance.   #Cadredeconcertation_des acteursdela chaînepénal #IDLO #TDH DCRP/MJDHRI

  • 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐛𝐚𝐧𝐜𝐚𝐢𝐫𝐞 : 𝐥𝐞 𝐆𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐜𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐩𝐚𝐫𝐫𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝟐𝟐𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧é𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐧𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥’𝐀𝐬𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐟𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐣𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐛𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 é𝐭𝐚𝐛𝐥𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐫

    𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐛𝐚𝐧𝐜𝐚𝐢𝐫𝐞 : 𝐥𝐞 𝐆𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐜𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐩𝐚𝐫𝐫𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝟐𝟐𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧é𝐞𝐬 𝐚𝐧𝐧𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥’𝐀𝐬𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐟𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐣𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐛𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 é𝐭𝐚𝐛𝐥𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐫  (Ouagadougou, 25 novembre 2025)  Le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des relations avec les institutions, Garde des sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA, parraine les 22e Journées annuelles de l’Association africaine des juristes de banque et établissement financier (AJBEF), une édition particulière marquant également le 25e anniversaire de cette organisation panafricaine. Représenté à l’ouverture par son directeur de cabinet, Bepoadi SININI, il a salué la tenue de cette rencontre « stratégique et fondatrice » sur le sol burkinabè dans un contexte où l’espace de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) s’engage dans une nouvelle vision de souveraineté et de conformité. Placées sous le thème : « la gouvernance bancaire : le rôle primordial de la direction juridique », ces journées entendent mettre en lumière la place centrale du juriste dans la maîtrise des risques et la solidité des institutions financières. Dans son discours lu par son directeur de cabinet, le Garde des sceaux a d’ailleurs rappelé que la direction juridique constitue désormais le garant de la crédibilité, de la transparence et de la résilience des établissements bancaires. D’où la nécessité, pour les directions générales, de conférer à la direction juridique une place stratégique dans les décisions bancaires et financières, condition essentielle à la stabilité durable des institutions. Du 25 au 27 novembre donc, une centaine de participants issus de douze pays d’Afrique se réunissent pour penser l’avenir du secteur bancaire, à l’heure des mutations digitales et des exigences normatives croissantes. L’ouverture de ces travaux s’est déroulée dans un climat de recueillement, en hommage à Me Moussa SOUMAH, président de l’AJBEF jusqu’à son décès le 1er novembre, qui préparait avec dévouement cette édition anniversaire. Vingt-cinq ans après sa création à Dakar, l’AJBEF demeure un espace d’expertise et de réflexion dédié à la professionnalisation et à l’éthique juridiques. Ce quart de siècle invite à revisiter le rôle du juriste bancaire, véritable architecte de la conformité et pilier de la crédibilité des institutions. Face à la transformation du paysage financier, les participants appellent à une gouvernance plus robuste et à une culture renforcée de conformité, convaincus que lorsque la rigueur juridique vacille, c’est tout un système qui chancelle ; mais lorsque le juriste éclaire, c’est l’ensemble du secteur qui se renforce et se projette sereinement vers l’avenir. DCRP / MJDHRI

  • 𝐃𝐮𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐮𝐦𝐞𝐧𝐮𝐝𝐮𝟏𝟎𝐞𝐚𝐧𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐚𝐢𝐫𝐞𝐝𝐮𝐅𝐨𝐧𝐝𝐬𝐝’𝐀𝐬𝐬𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐜𝐞𝐉𝐮𝐝𝐢𝐜𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞.

    𝐃𝐮 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐚𝐮 𝐦𝐞𝐧𝐮 𝐝𝐮 𝟏𝟎𝐞 𝐚𝐧𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐅𝐨𝐧𝐝𝐬 𝐝’𝐀𝐬𝐬𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐉𝐮𝐝𝐢𝐜𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞. (Ouagadougou, 24 novembre 2025) Le Fonds d’Assistance judiciaire mobilise les acteurs et la population de Ouagadougou dans un cross populaire à l’entame de la commémoration de ses dix ans d’existence. La commémoration du dixième anniversaire de l’opérationnalisation du FAJ est placée sous le thème : ” Le Fonds d’Assistance judiciaire, dix ans au service du droit d’accès à la justice : Bilan, défis et perspectives“. Du beau monde en tenue de sport cet après-midi devant le FAJ sur l’avenue Raoul Follereau. Pour la circonstance, le personnel des juridictions, de l’administration pénitentiaire, des agents du ministère de la justice et des droits humains et la population, ont pris part à un sport collectif inédit. Le top de départ lancé, ces hommes et ses femmes ont battu le pavé des quatre coins de la ville de Ouagadougou tout en scandant des chansons de victoire et d’encouragement pour célébrer ces noces d’étain du FAJ.   Cette activité a été marquée par la présence remarquable du Directeur général du Fonds d’appui judiciaire de la République du Niger accompagné d’une forte délégation. A en croire, le Directeur général du FAJ au Burkina Faso, Émile Fidèle DALA, cette marche sportive suivie de séance aérobique, au regard de la forte mobilisation des participants, témoigne de la vitalité des relations entre le FAJ et les autres entités qu’elles soient publiques ou privées. Tout est en l’honneur du ministre garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA et de celui de l’Economie et des Finances Aboubacar NAKANABO qui ont soutenu l’organisation des activités pour marquer les dix ans du FAJ. Dressant un bref bilan, le Directeur général a indiqué que durant les dix ans, plus de 7 000 personnes ont déjà bénéficié de l’aide et l’assistance pour un montant de plus de deux milliards de francs CFA. Il a par ailleurs invité l’ensemble des Ouagavillois à marquer de leur présence aux journées portes ouvertes, aux de panels et aux autres activités mises en œuvre du 24 au 28 novembre 2025 sur le site du FAJ. DCRP / MJDHRI

  • 𝟓𝐞 é𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐝𝐞𝐥𝐚𝐜é𝐫é𝐦𝐨𝐧𝐢𝐞𝐝’𝐡𝐨𝐦𝐦𝐚𝐠𝐞𝐚𝐮𝐱𝐠𝐫𝐞𝐟𝐟𝐢𝐞𝐫𝐬𝐚𝐝𝐦𝐢𝐬 à 𝐥𝐚𝐫𝐞𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐞 : 𝐍𝐞𝐮𝐟𝐠𝐫𝐞𝐟𝐟𝐢𝐞𝐫𝐬𝐡𝐨𝐧𝐨𝐫é𝐬

    𝟓𝐞 é𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜é𝐫é𝐦𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐝’𝐡𝐨𝐦𝐦𝐚𝐠𝐞 𝐚𝐮𝐱 𝐠𝐫𝐞𝐟𝐟𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐚𝐝𝐦𝐢𝐬 à 𝐥𝐚 𝐫𝐞𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐞 : 𝐍𝐞𝐮𝐟 𝐠𝐫𝐞𝐟𝐟𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐡𝐨𝐧𝐨𝐫é𝐬 (Ouagadougou, 21 novembre 2025) Le Ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA, a présidé la 5e édition de la cérémonie d’hommage aux greffiers admis à la retraite, dans la soirée de ce vendredi à Ouagadougou. Organisée par la Direction des greffes, cette édition a réuni des personnalités du monde judiciaire, des invités, ainsi que le personnel du corps des greffiers venus des juridictions, de la Chancellerie et des institutions. Cette 5e édition a permis de célébrer neuf agents ayant consacré plus de trois décennies de leur vie au service de la justice burkinabè. Sous la conduite de W. Jonathan BONKOUNGOU, Directeur des greffes, la cérémonie a mis en lumière l’engagement remarquable de ces femmes et de ces hommes dont la carrière atteint en moyenne 36 années de service. Les récipiendaires distingués cette année sont : Eline Gabrielle DAKOURE/COMPAORE, Ibrahima ZERBO, Abdoulaye SANFO, P. Joanny OUEDRAOGO, Salimata OUEDRAOGO/ZERBO, Noaga OUEDRAOGO, Léontine OUEDRAOGO, Pascal KABORE et Aurélie OUARE. Leurs parcours illustrent le professionnalisme et la loyauté qui ont renforcé la crédibilité de l’institution judiciaire. Le Directeur des greffes, W. Jonathan BONKOUNGOU, a souligné la richesse de l’héritage laissé par ces agents chevronnés, insistant sur l’importance de préserver leur mémoire professionnelle au sein des juridictions. Dans son intervention, le Garde des Sceaux a exprimé la reconnaissance du ministère envers ces acteurs essentiels de la chaîne judiciaire, saluant leur dévouement et leur résilience face aux défis du quotidien. Il a rappelé que leur contribution constitue un repère pour les générations actuelles et futures du corps des greffiers. La cérémonie a été jalonnée par des prestations artistiques et par la remise d’attestations et de présents, symboles de la gratitude du personnel du corps des greffiers. Entre émotions et reconnaissance, cet hommage a mis en lumière des serviteurs exemplaires de la justice burkinabè.  DCRP/MJDHRI

  • 𝐄𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐨𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐱𝐞𝐦𝐩𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞 : 𝐥𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 de 𝐥𝐚 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞, 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐨𝐫𝐝𝐫𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐱𝐢𝐥𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮é𝐬 𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞𝐧𝐭 𝟐𝟐,𝟔 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 à 𝐅𝐚𝐬𝐨 𝐌è𝐛𝐨

    𝐄𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐨𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐱𝐞𝐦𝐩𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞 : 𝐥𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 de 𝐥𝐚 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞, 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐨𝐫𝐝𝐫𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐱𝐢𝐥𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮é𝐬 𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞𝐧𝐭 𝟐𝟐,𝟔 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 à 𝐅𝐚𝐬𝐨 𝐌è𝐛𝐨 (Ouagadougou, 21 novembre 2025) Sous un soleil ardent, le Ministre de la Justice et des droits humains, chargé des relations avec les institutions, Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA, s’est rendu au siège de Faso Mèbo, entouré de ses proches collaborateurs, du Secrétaire général, des responsables des structures rattachées ainsi que des représentants des ordres professionnels (avocats, notaires, huissiers et juges consulaires). Ensemble, ils ont procédé à la remise d’une importante contribution destinée à renforcer l’assainissement et l’embellissement du cadre de vie. D’une valeur totale de 22 600 000 F CFA, composée de 160 tonnes de ciment, de 160 tonnes de sable et de 200 tonnes de granite, ce don dépasse la simple fourniture de matériaux : il traduit la détermination d’un ministère à bâtir une nation de justice, de paix et de bien-être pour tous les citoyens. Au cœur de cette mobilisation exemplaire, se dresse la figure de proue du Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA, dont le leadership a su mobiliser l’ensemble des acteurs du secteur de la Justice et des Droits humains ainsi que les ordres constitués des auxiliaires de Justice. Son appel à la responsabilité collective et à la fidélité aux idéaux de la révolution progressiste populaire a eu un écho sans précédent puissant auprès de tous. Et toutes et tous ont répondu avec une ferveur, transformant ainsi un geste matériel en un témoignage vibrant de loyauté institutionnelle et d’engagement patriotique. Au-delà du geste matériel, un acte encore plus fort a marqué les esprits : les acteurs judiciaires, avec à leur tête Me Edasso Rodrigue BAYALA, ont enfilé les gants, saisi pelles, moules à pavés et brouettes pour travailler eux-mêmes sur le site de Faso Mèbo. En mélangeant du ciment, en coulant  des pavés, ces ouvriers d’une matinée à côté des détenus admis au travail d’intérêt général, ont mouillé le maillot, pour rappeler que la justice est aussi un service qui se construit au contact du réel, dans la poussière, la sueur et l’humilité. Ce moment inédit, empreint d’une noblesse silencieuse, a donné à la cérémonie un éclat authentiquement citoyen, révélant un leadership qui donne l’exemple plutôt qu’il ne le décrit. Par cette journée de solidarité active, le MJDHRI a réaffirmé une vérité fondamentale : la nation ne se bâtit pas seulement dans les discours, mais dans l’action, dans l’engagement tangible de ceux qui la servent. En offrant matériaux et sueur, outils et convictions, le ministère inscrit son geste dans l’histoire de « Faso Mèbo » comme une contribution matérielle, symbolique et humaine. À travers ce don et cette participation exemplaire, Me Edasso Rodrigue BAYALA et l’ensemble des acteurs judiciaires ont montré que lorsqu’une institution se lève pour la République, elle le fait avec le cœur, l’esprit et les mains. DCRP /MJDHRI

  • Sécurité et Droits humains : Un atelier clé pour finaliser le rapport 2024 sur la contribution des FDS et VDP à la protection des droits humains.

    Sécurité et Droits humains : Un atelier clé pour finaliser le rapport 2024 sur la contribution des FDS et VDP à la protection des droits humains. (Ouagadougou, 20 novembre 2025) — Le Ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions (MJDHRI), a tenu à Ouagadougou, un atelier de validation du rapport 2024 portant sur la contribution des Forces Armées Nationales (FAN), des Forces de Sécurité Intérieure (FSI) et des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) à la promotion et à la protection des droits humains au Burkina Faso.   Présidée par Harouna KADIO, Secrétaire général du MJDHRI représentant le ministre Garde des sceaux Me Edasso Rodrigue BAYALA, cette rencontre a pour objectif de présenter le projet de rapport, de recueillir les observations des participants et d’intégrer les données complémentaires nécessaires avant son adoption définitive.   L’atelier a rassemblé l’ensemble des institutions et acteurs impliqués dans l’élaboration du document, ainsi que les partenaires techniques, notamment le Centre pour la Gouvernance du Secteur de la Sécurité (DCAF), principal soutien technique et financier du processus.   Dans son allocution d’ouverture, le secrétaire général a invité les participants à mener « des échanges francs, ouverts et constructifs », gage de résultats pertinents et fiables. Il a également réitéré la reconnaissance du ministère envers le   DCAF pour son accompagnement constant. Il a en outre salué « les combattants de la liberté et de la dignité », rappelant que la Nation demeure profondément reconnaissante pour leur engagement quotidien.   L’atelier a réuni un large éventail d’acteurs du secteur de la justice, de la sécurité, de la défense et de la protection des droits humains : directions centrales, structures spécialisées, institutions publiques, chaînes de commandement, services sociaux et psychologiques des armées, ainsi que les organes de suivi des droits humains.   Cette démarche inclusive vise à garantir la qualité, la pertinence et la légitimité du rapport final.   #DCAF #rapport2024fanfsivdp 𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜  

  • 𝐑𝐞𝐧𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐩𝐚𝐜𝐢𝐭é𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐠𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐞𝐧 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐢𝐭𝐨𝐲𝐞𝐧𝐬 𝐛𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚𝐛è.

    𝐑𝐞𝐧𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐩𝐚𝐜𝐢𝐭é𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐠𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐞𝐧 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐢𝐭𝐨𝐲𝐞𝐧𝐬 𝐛𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚𝐛è. –18 novembre 2025- Le Ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions (MJDHRI) a organisé, du 18 au 21 novembre 2025, une session d’appropriation au profit de son personnel.   Cette formation s’inscrit dans la volonté constante du ministère de renforcer l’intégration de l’Approche Basée sur les Droits Humains (ABDH) dans l’ensemble des actions de promotion et de protection des droits humains.   Présidant la cérémonie d’ouverture, le Directeur général des Droits humains, Monsieur Marcel ZONGO, a invité les participants à s’approprier pleinement les différents modules. Selon lui, cette maîtrise est essentielle pour « favoriser une gouvernance plus vertueuse et tournée vers la satisfaction des usagers des services publics de la justice et des droits humains ».   Pour rappel, l’ABDH constitue un cadre conceptuel de développement fondé sur les normes et principes des droits humains. Elle vise à : Renforcer les capacités des débiteurs d’obligations, afin qu’ils assument pleinement leurs responsabilités ; Outiller les détenteurs de droits pour qu’ils connaissent leurs droits et devoirs, et s’engagent à agir en conformité avec les exigences des droits humains.   Fidèle au leitmotiv des autorités du MJDHRI – « Mieux former pour mieux servir » –, cette session vient renforcer les compétences du personnel après celle organisée au profit des présidents des délégations spéciales et des secrétaires généraux de la commune de Ouagadougou.   Le MJDHRI réaffirme ainsi son engagement à promouvoir une administration publique respectueuse des droits humains, au service de toutes les citoyennes et de tous les citoyens.   DCRP-MJDHRI

  • Justice juvénile : les acteurs valident un manuel pour harmoniser les pratiques

    Justice juvénile : les acteurs valident un manuel pour harmoniser les pratiques (Ziniaré, 19 novembre 2025) Le Secrétaire général du Ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Harouna KADIO, a présidé la cérémonie d’ouverture de l’atelier de validation du manuel de procédures relatif à la gestion de la justice juvénile. L’activité, organisée par la Direction du développement institutionnel et de l’innovation, a mobilisé trente-deux (32) participants venus des services centraux, des juridictions, des établissements pénitentiaires et des structures sociales. Dans son discours d’ouverture, Harouna KADIO a insisté sur le rôle stratégique du manuel de procédures comme outil de gouvernance et de coordination. Selon lui, ce document devait permettre d’harmoniser les pratiques, de renforcer la traçabilité des opérations et de garantir la continuité institutionnelle, tout en facilitant l’intégration des nouveaux agents au sein des services chargés de la justice juvénile. Pendant quarante-huit (48) heures, les participants ont examiné de manière approfondie le projet de manuel, un document de quatre-vingt-dix (90) pages structurées en trois modules, comprenant plusieurs processus déclinés en procédures détaillées. Les échanges ont porté à la fois sur la forme et sur le fond du contenu, afin de corriger les éventuelles insuffisances et d’assurer la conformité du document avec les normes méthodologiques en vigueur. À l’issue des discussions, les acteurs ont procédé à des amendements avant de valider à l’unanimité le manuel de procédures. Cette étape a marqué l’aboutissement d’un travail collaboratif réunissant magistrats, personnels pénitentiaires, travailleurs sociaux et responsables administratifs, tous mobilisés pour doter la justice juvénile d’un référentiel clair, opérationnel et moderne. La validation de ce manuel constitue une avancée majeure pour le fonctionnement de la justice juvénile au Burkina Faso. Elle permettra d’améliorer la coordination des interventions, d’assurer une meilleure protection des enfants concernés par le système judiciaire et de renforcer l’efficacité globale des services, contribuant ainsi à une justice plus cohérente, plus structurée et résolument orientée vers la promotion des droits de l’enfant.  DCRP /MJDHRI

  • Procès pour maltraitance d’un enfant talibé de 13 ans : Le tribunal se déclare incompétent

    𝐏𝐫𝐨𝐜è𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐚𝐥𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝’𝐮𝐧 𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭 𝐭𝐚𝐥𝐢𝐛é 𝐝𝐞 𝟏𝟑 𝐚𝐧𝐬 : 𝐋𝐞 𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐧𝐚𝐥 𝐬𝐞 𝐝é𝐜𝐥𝐚𝐫𝐞 𝐢𝐧𝐜𝐨𝐦𝐩é𝐭𝐞𝐧𝐭 Le procès dans l’affaire ministère public contre (H. A), maître coranique s’est ouvert ce mercredi 19 novembre 2025 devant la chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Ouaga1. ‎Aussitôt ouverte, l’audience a été suspendue pour permettre au tribunal, siégeant en matière correctionnelle de statuer sur sa compétence. ‎A la reprise de l’audience, le tribunal s’est déclaré incompétent au regard de la nature de l’infraction. Faisant référence à l’article 523- 3 du code pénal qui dispose que : “l’auteur est puni d’une peine d’emprisonnement de onze ans à trente ans et d’une amende d’un million (1 000 000) à cinq millions (5 000 000) de francs CFA, si la personne enlevée, arrêtée, détenue ou séquestrée a été soumise à des tortures ou sévices corporels.” Le tribunal en conséquence estime que l’infraction de séquestration suivie de tortures et sévices corporels constituent un crime au regard des peines qui pourraient être prononcées à l’encontre du maître coranique prévenu H. A qui était présent à l’audience. Le tribunal dans sa décision a invité le ministère public à mieux se pourvoir en saisissant le tribunal compétent. ‎Pour rappel, cette affaire avait défrayé la chronique en raison du niveau de cruauté du maître coranique en question, relaté dans un communiqué en date du 12 novembre 2025 de Blaise BAZIE, Procureur du Faso près le tribunal de grande instance Ouaga1.  DCRP-MJDHRI

  • 𝐕𝐞𝐫𝐝𝐢𝐜𝐭 𝐝𝐮 𝐣𝐮𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧 𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥’𝐚𝐟𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐓𝐈𝐄𝐆𝐍𝐀𝐍 𝐀𝐦𝐢𝐝𝐨𝐮 𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬: 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐩𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐝𝐚𝐦𝐧é𝐬 à 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐫é𝐯𝐢𝐬é𝐞𝐬

    𝐕𝐞𝐫𝐝𝐢𝐜𝐭 𝐝𝐮 𝐣𝐮𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧 𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥’𝐚𝐟𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐓𝐈𝐄𝐆𝐍𝐀𝐍 𝐀𝐦𝐢𝐝𝐨𝐮 𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬: 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐩𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐝𝐚𝐦𝐧é𝐬 à 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐫é𝐯𝐢𝐬é𝐞𝐬 Le procès en appel ouvert le lundi 3 novembre 2025 devant la Cour d’Appel de Ouagadougou dans l’affaire Amidou TIEGNAN, Philippe BAYOULOU, Pétronille TARPAGA/OUEDRAOGO et Salifou OUEDRAOGO, tous poursuivis pour détournement de fonds publics au préjudice du ministère de l’Action humanitaire, a connu son dénouement ce mardi 18 novembre 2025. ‎Dans ce dossier, les différentes parties avaient toutes interjetées appel de l’ensemble des dispositifs de la décision rendue en premier ressort. En se prononçant, la Cour a déclaré recevables tous les appels. Elle a confirmé la décision du tribunal sur les exceptions d’incompétence, de nullité et de prescription, avant de préciser qu’aucune confusion ne saurait être faite entre le détournement de deniers publics et l’infraction d’enrichissement illicite. ‎Statuant au fond, la cour a condamné : ‎ -Amidou TIEGNAN à une peine d’emprisonnement de onze ans et à une amende ferme de cinq milliards six cent quarante millions (5 640 000 000) F CFA. En première instance, il avait écopé de quinze ans de prison ferme pour la même amende. ‎-Pétronille TARPAGA/OUEDRAOGO a été condamnée à huit ans d’emprisonnement ferme et à une amende de cent quatre millions vingt-cinq mille (104 025 000) F CFA, contre onze ans de prison et 286 080 000 F CFA d’amende en premier ressort. ‎-Philippe BAYOULOU se voit infliger six ans d’emprisonnement ferme et une amende de deux cent quarante-cinq millions quatre cent soixante-dix-huit mille (245 478 000) F CFA. Il avait auparavant été condamné à six ans de prison ferme et 126 000 000 F CFA d’amende. ‎-Quant à Salifou OUEDRAOGO, il est condamné à onze ans d’emprisonnement ferme et à une amende de trois cent quarante-cinq millions (345 000 000) F CFA, alors qu’il avait été sanctionné en première instance à huit ans de prison et 347 676 000 F CFA d’amende. ‎Au titre de la réparation du préjudice financier subi par l’État burkinabè, la cour a condamné : ‎– Amidou TIEGNAN à verser un milliard huit cent quatre-vingt millions (1 880 000 000) F CFA ; ‎– Pétronille TARPAGA/OUEDRAOGO, trente-quatre millions six cent soixante-quinze mille (34 675 000) F CFA ; ‎– Philippe BAYOULOU, quatre-vingt-un millions huit cent vingt-six mille (81 826 000) F CFA ; ‎– Salifou OUEDRAOGO, cent quinze millions (115 000 000) F CFA. ‎Les prévenus devront également payer à l’État burkinabè la somme symbolique d’un franc au titre du préjudice moral. ‎ Le tribunal avait, en premier ressort, condamné solidairement TIEGNAN, TARPAGA/OUEDRAOGO, OUEDRAOGO et BAYOULOU au paiement de deux milliards cent trente-trois millions deux cent cinquante-deux mille (2 133 252 000) F CFA, outre un franc symbolique pour le préjudice moral et quatre millions (4 000 000) F CFA pour les frais non compris dans les dépens. ‎Cette décision étant rendue en dernier ressort, un pourvoi en cassation demeure néanmoins possible à toute partie qui ne se sentirait toujours pas satisfaite. DCRP /MJDHRI

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