Ministère de la Justice et des Droits humains,
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  • *Le MJDHRI, l’ong Pax et les ex-protagonistes du Guiriko exaltent les mécanismes traditionnels de résolution des conflits communautaires. *

    *Le MJDHRI, l’ong Pax et les ex-protagonistes du Guiriko exaltent les mécanismes traditionnels de résolution des conflits communautaires. * (Bobo Dioulasso, 13 novembre 2025). Le Burkina Faso commémore conjointement les journées internationale et nationale de la paix et de la tolérance par des activités d’envergure dans la région du Guiriko sous le thème : *”place et rôle des mécanismes traditionnels de résolution des conflits dans la promotion du vivre ensemble et de la préservation de la paix au Burkina Faso”*. Une série d’activités marque la commémoration de cette journée mémorable du 13 novembre dans le Guiriko. Le Secrétaire général du ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des relations avec les Institutions, Harouna KADIO, a au nom du ministre Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA a prononcé le discours de la cérémonie de témoignages des ex-protagonistes de la région du Guiriko. Il avait à ses côtés monsieur Souleyman DRABO conseiller technique de Mme le Gouverneur de la région du Guiko et monsieur Roger MINOUNGOU, représentant pays de l’ONG Pax au Burkina Faso. Il a rappelé cette phrase du PDS de Satiri qui disait lors de l’atelier bilan tenu en juin 2025 : *”la paix durable se tisse là où les cœurs s’ouvrent et où les mémoires réapprennent à dialoguer. C’est dans nos traditions que dorment les solutions”*. En effet le rapport 2024 du secrétariat permanent de l’observatoire national de prévention et de gestion des conflits communautaires (SP/ONAPROGECC) a dénombré 191 cas dans la région du Guiriko sur un total de 1337 cas recensés au Burkina Faso. Le choix de la région du Guiriko n’est donc pas fortuit. À la tribune de témoignage  des ex-protagonistes ont exprimé  leur joie de fumer désormais le même calumet de la paix, de boire dans la même calebasse en  signe de paix, de tolérance et d’engagement à vivre ensemble heureux après la résolution de dix-sept cas de conflits portant sur le foncier, des allégations pour fait  de sorcellerie, la gestion de site minier, etc, dans les  départements de Boni, de Satiri, de Orodara et de Karangasso-Vigué en six mois de mise en œuvre des mécanismes traditionnels de résolution de conflits par le ministère en charge de la justice et des droits humains avec l’appui des autorités régionales, des préfets de département et le soutien technique et financier de l’ONG  PAX. Au terme de ces témoignages riches en émotions et leçons apprises, tous les participants ont émis le vœu de voir ces actions de l’ONG Pax se maintenir dans la durée et s’étendre partout au Burkina Faso où il existe des conflits communautaires. DCRP /MJDHRI

  • Renforcement des liens judiciaires sous-régionaux : le Garde des Sceaux reçoit le Conseil Supérieur de la Magistrature du Togo

    Renforcement des liens judiciaires sous-régionaux : le Garde des Sceaux reçoit le Conseil Supérieur de la Magistrature du Togo (Ouagadougou, 12 novembre 2025),  Le Ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Me Edasso Rodrigue BAYALA, a accordé une audience, le mercredi 12 novembre 2025 à Ouagadougou, à une délégation du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) du Togo. ‎Conduite par ABDOULAYE Bawa Yaya, Président du CSM du Togo , par ailleurs Président de la Cour suprême, la délégation togolaise était accompagnée par leurs homologues du CSM du Burkina Faso, avec à leur tête  Adama OUEDRAOGO, Président de l’institution. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une visite d’immersion destinée à renforcer les liens de coopération entre les deux organes de gouvernance judiciaire. ‎Prenant la parole au nom de la délégation, ABDOULAYE Bawa Yaya a salué le leadership éclairé du Garde des Sceaux burkinabè, dont les réformes ambitieuses témoignent d’une volonté constante de rapprocher la justice des citoyens. Il a exprimé l’intérêt du CSM du Togo pour l’expérience judiciaire et juridique burkinabè. « Le Burkina Faso est la locomotive, nous sommes venus avec les wagons pour recueillir les expériences », a-t-il déclaré avec enthousiasme, soulignant ainsi la démarche d’humilité et de fraternité institutionnelle qui guide cette visite. ‎En réponse, Me Edasso Rodrigue BAYALA a salué cette initiative qu’il a qualifiée « d’honneur et d’engagement à aller de l’avant ». Le Garde des Sceaux a rappelé que la coopération entre institutions judiciaires africaines constitue un levier essentiel pour la consolidation de l’État de droit et la modernisation de la justice. Il a partagé à cette occasion quelques exemples concrets de réformes menées au Burkina Faso, fruits d’une synergie d’action entre les différents acteurs du système judiciaire. ‎La visite de la délégation togolaise au Burkina Faso se veut avant tout un cadre d’échanges et d’apprentissage mutuel. Le programme arrêté entre les deux parties prévoit des visites aux hautes juridictions, une rencontre technique entre les membres des deux CSM, ainsi que des échanges informels destinés à approfondir la compréhension réciproque des modèles de gouvernance judiciaire. Des visites de sites touristiques sont également inscrites au programme, pour renforcer la convivialité et la fraternité entre les deux peuples. DCRP/MJDHRI  

  • 𝐑𝐞𝐧𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐩𝐚𝐜𝐢𝐭é𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜𝐬 : 𝐥𝐞 𝐌𝐉𝐃𝐇𝐑𝐈 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐞𝐮𝐭 𝐥’𝐀𝐩𝐩𝐫𝐨𝐜𝐡𝐞 𝐁𝐚𝐬é𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐇𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬

    𝐑𝐞𝐧𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐩𝐚𝐜𝐢𝐭é𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜𝐬 : 𝐥𝐞 𝐌𝐉𝐃𝐇𝐑𝐈 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐞𝐮𝐭 𝐥’𝐀𝐩𝐩𝐫𝐨𝐜𝐡𝐞 𝐁𝐚𝐬é𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐃𝐫𝐨𝐢𝐭𝐬 𝐇𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬 (Ouagadougou, le 11 novembre 2025) Le Secrétaire Général du Ministère de la justice et des droits humains, chargé des relations avec les institutions, a, au nom du Ministre Garde des Sceaux, procédé au lancement officiel de la session de formation des présidents des délégations spéciales (PDS) et des secrétaires généraux des arrondissements de la commune de Ouagadougou sur l’Approche Basée sur les Droits Humains (ABDH). Organisée par la Direction générale des Droits humains (DGDH) à travers la Direction de l’Éducation aux Droits humains et du Partenariat (DEDHP), cette session vise à renforcer les capacités des acteurs publics de la commune de Ouagadougou pour une meilleure appropriation des principes et mécanismes liés à l’ABDH. Elle réunit une vingtaine de participants issus des douze arrondissements de la capitale. Dans son allocution d’ouverture, le Secrétaire général du MJDHRI, représentant le Ministre garde des sceaux, a souligné l’importance du renforcement des capacités des délégations spéciales, gage d’une gouvernance participative et d’un développement porté par les communautés elles-mêmes.« Cette formation permettra de renforcer la qualité de la gouvernance locale ; la légitimité de vos actions, et leur appropriation par les populations à la base pour un développement équitable et solidaire au niveau de la commune de Ouagadougou.» a-t-il déclaré. Durant quatre jours de travaux, les participants seront outillés à travers plusieurs modules thématiques portant notamment sur les droits humains, les principes et standards de l’ABDH, son lien avec les Objectifs de Développement Durable (ODD), ainsi que la planification des actions publiques selon cette approche. Cette initiative du MJDHRI témoigne de la volonté du gouvernement burkinabè de promouvoir une gouvernance locale fondée sur les droits humains, condition indispensable pour bâtir un développement harmonieux, inclusif et durable au service de toutes les populations. DCRP/MJDHRI

  • 𝐑𝐚𝐲𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥 : ” 𝐋𝐞𝐬 é𝐭𝐚𝐥𝐨𝐧𝐬” 𝐝𝐮 𝐌𝐉𝐃𝐇𝐑𝐈 𝐩𝐫é𝐬𝐞𝐧𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝 𝐩𝐫𝐢𝐱.

    𝐑𝐚𝐲𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥 : ” 𝐋𝐞𝐬 é𝐭𝐚𝐥𝐨𝐧𝐬” 𝐝𝐮 𝐌𝐉𝐃𝐇𝐑𝐈 𝐩𝐫é𝐬𝐞𝐧𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝 𝐩𝐫𝐢𝐱. (Ouagadougou, le 10 novembre 2025) Le Secrétaire général du ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des relations avec les Institutions, au nom du Ministre Garde des Sceaux Me Edasso Rodrigue BAYALA, a accueilli   l’équipe de football dudit ministère venue présenter le second prix remporté au tournoi de maracana des institutions intervenant dans la chaîne de prévention et de répression de la cybercriminalité.  Cette compétition a été organisée par la Brigade centrale de Lutte contre la Cybercriminalité (BCLCC) lors de la première Semaine nationale de Lutte contre la Cybercriminalité (SNLC-BURKINA 2025).  L’équipe des vice-champions de ce tournoi conduite de main de maître par le directeur des sports, des loisirs, des arts et de la culture de l’administration pénitentiaire, l’inspecteur de sécurité pénitentiaire Réné 1er Triplet BAKIONO, a remis officiellement au secrétaire général Harouna KADIO, représentant le Garde des Sceaux, leur prix composé d’une enveloppe financière, de médailles et de gadgets sportifs. Saluant la performance, le secrétaire général a exalté l’engagement et la résilience d’une équipe qu’il a qualifiée « d’étalons du ministère », symbole de cohésion, de courage et de rayonnement institutionnel. Il a réaffirmé le soutien indéfectible du ministère à leur égard et a exhorté les joueurs à poursuivre leur ascension, rappelant que leur combativité sur le terrain participe pleinement à donner à l’institution ses lettres de noblesse. Les joueurs ont réitéré leur volonté de viser désormais la médaille d’or et se sont dits galvanisés par l’accompagnement constant de la hiérarchie.  À cette occasion, le directeur des sports a annoncé la tenue prochaine de la troisième édition de la rentrée sportive du ministère, confirmant ainsi la vitalité du personnel du secteur de la justice et des droits humains faisant désormais de la pratique du sport pour tous une tradition. DCRP /MJDHRI

  • Jour 5 du procès en appel dans l’affaire TEIGNAN et autres : Les conseils des prévenus plaident la clémence de la Cour

    Jour 5 du procès en appel dans l’affaire TEIGNAN et autres : Les conseils des prévenus plaident la clémence de la Cour ‎(Ouagadougou, 7 novembre 2025) ‎Le cinquième jour du procès en appel opposant le ministère public aux prévenus TIEGNAN Amidou, TARPAGA/OUEDRAOGO Pétronille, OUEDRAOGO Salifou et BAYOULOU Philippe a été consacré aux plaidoiries des avocats de la défense. ‎Au cours de l’audience, les quatre prévenus ont comparu successivement à la barre, chacun assisté de son conseil. Dans leurs interventions, les avocats ont sollicité de la Cour soit la confirmation, l’infirmation ou la réformation de certains aspects du jugement rendu en premier ressort. ‎Certains conseils ont notamment plaidé pour une réduction du quantum des peines prononcées par le premier juge ou pour l’octroi du sursis à leurs clients, tandis que d’autres ont demandé l’annulation pure et simple du jugement de premier ressort. ‎Invités à prendre la parole en dernier, TIEGNAN Amidou, TARPAGA/OUEDRAOGO Pétronille, OUEDRAOGO Salifou et BAYOULOU Philippe ont exprimé leur repentance. Ils ont imploré la clémence de la Cour et demandé pardon au peuple burkinabè pour les actes à l’origine de la procédure judiciaire. Ils ont souhaité de la Cour une seconde chance en confessant avoir tiré leçon de leurs agissements. ‎À l’issue des plaidoiries, le dossier a été mis en délibéré. Le verdict sera rendu le 18 novembre 2025, à partir de 9 heures.  DCRP /MJDHRI

  • Coopération bilatérale : Le Garde des Sceaux reçoit l’Ambassadeur de la République Islamique d’Iran.

    Coopération bilatérale : Le Garde des Sceaux reçoit l’Ambassadeur de la République Islamique d’Iran. (Ouagadougou, le 7 novembre 2025). Le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA, a accordé une audience, cet après-midi, à Son Excellence Mojtaba FAGHIHI, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République Islamique d’Iran au Burkina Faso. Cette visite de courtoisie s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations de coopération entre les deux pays. « Cette rencontre marque le début d’une coopération officielle renforcée. C’est un honneur pour moi de rencontrer le ministre de la Justice burkinabè, car le peuple burkinabè est reconnu pour son intégrité. Mes prédécesseurs et moi-même avons toujours salué cette vertu. J’exprime avant tout mon admiration pour Son Excellence le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, dont le leadership est aujourd’hui salué au-delà des frontières », a déclaré l’ambassadeur iranien. Au cours des échanges, l’Ambassadeur Mojtaba FAGHIHI a informé le Garde des Sceaux de la mise en œuvre des accords conclus lors de la première commission mixte de coopération entre le Burkina Faso et la République Islamique d’Iran. Il a également annoncé la tenue de la seconde commission mixte à Téhéran, laquelle portera notamment sur trois accords judiciaires : les conventions d’extradition des criminels, les modalités de transfert des personnes condamnées, ainsi que l’assistance judiciaire mutuelle. Le Garde des Sceaux, Me Edasso Rodrigue BAYALA, a salué l’initiative et la disponibilité de la République Islamique d’Iran à renforcer les liens de coopération, particulièrement dans le domaine judiciaire. Il a réaffirmé la volonté du Burkina Faso de poursuivre et de consolider cette dynamique constructive, fondée sur le respect mutuel et les intérêts communs des deux nations. DCRP/MJDHRI

  • 𝐀𝐫𝐫ê𝐭é 𝐜𝐨𝐧𝐣𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐍°𝟐𝟎𝟐𝟓-𝟎𝟓𝟏𝟕/𝐌𝐄𝐅/𝐌𝐉𝐃𝐇𝐑𝐈 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐭𝐚𝐫𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐦𝐨𝐝𝐚𝐥𝐢𝐭é𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐫é𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐭𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞, 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐝𝐚𝐦𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐩é𝐜𝐮𝐧𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐂𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐞𝐭 𝐓𝐫𝐢𝐛𝐮𝐧𝐚𝐮𝐱

    𝐀𝐫𝐫ê𝐭é 𝐜𝐨𝐧𝐣𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐍°𝟐𝟎𝟐𝟓-𝟎𝟓𝟏𝟕/𝐌𝐄𝐅/𝐌𝐉𝐃𝐇𝐑𝐈 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐭𝐚𝐫𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐦𝐨𝐝𝐚𝐥𝐢𝐭é𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐫é𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐭𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐜𝐞, 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐝𝐚𝐦𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐩é𝐜𝐮𝐧𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐂𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐞𝐭 𝐓𝐫𝐢𝐛𝐮𝐧𝐚𝐮𝐱  Arreté conjoint tarification des actes de justice05112025135648                                      

  • Jour 4 du procès en appel 𝗱𝗲𝘀𝗽𝗿é𝘀𝘂𝗺é𝘀 auteurs 𝗱𝗲𝗱é𝘁𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗱𝗲𝗳𝗼𝗻𝗱𝘀𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰𝘀𝗮𝘂𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁è𝗿𝗲𝗱𝗲𝗹’𝗔𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝗵𝘂𝗺𝗮𝗻𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 :  l’AJE fait ses réclamations et le parquet général prend ses réquisitions

    Jour 4 du procès en appel 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗿é𝘀𝘂𝗺é𝘀 auteurs 𝗱𝗲 𝗱é𝘁𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗳𝗼𝗻𝗱𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰𝘀 𝗮𝘂 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁è𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗻𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 : l’AJE fait ses réclamations et le parquet général prend ses réquisitions ‎(Ouagadougou, 6 novembre 2025). ‎Le procès en appel dans l’affaire de détournement de plus de 3 milliards au ministère de l’Action humanitaire en ce quatrième jour, a été consacré aux réclamations de l’Agent Judiciaire de l’État (AJE) et aux réquisitions du ministère public à travers le parquet général. ‎‎A l’entame de l’audience, tour à tour, les prévenus TIEGNAN Amidou, TARPAGA/OUEDRAOGO Pétronille, OUEDRAOGO Salifou et BAYOULOU Phillipe ont été appelés à la barre. Tous reconnaissent partiellement le montant du préjudice financier qu’ils ont causé au détriment de l’État burkinabè. ‎‎Prenant la parole, L’AJE a motivé l’incrimination des quatre prévenus avant de faire savoir ses prétentions au tribunal. ‎‎Il a ainsi sollicité que la Cour déclare recevable son appel et la constitution de partie civile de l’État burkinabè, en outre qu’elle confirme la décision attaquée en reconnaissant les prévenus TIEGNAN Amidou, TARPAGA/OUEDRAOGO Pétronille, OUEDRAOGO Salifou et BAYOULOU Phillipe coupables des infractions qui leur sont reprochés. L’AJE a aussi réclamé de la Cour la condamnation solidaire des prévenus au paiement de la somme de 5 049 415 756 F CFA au titre du préjudice financier et à la somme de 1 F CFA symbolique pour ce qui est du préjudice moral. Enfin, il a souhaité la condamnation des prévenus à payer solidairement la somme de 10 000 000 de F CFA représentant les frais exposés non compris dans les dépens. A son tour, le ministère public à travers le procureur général a requis de la Cour le rejet de l’appel portant sur décision d’incompétence à statuer sur l’infraction relative au faux en écriture publique. Il a en sus sollicité que la Cour déclare recevables tous les appels tout en infirmant la décision du premier juge portant sur la prescription de l’infraction de faux en écriture publique portant sur les chèques. Quant à la condamnation du prévenu BAYOULOU Philippe, le parquet général a requis qu’elle soit revue à la hausse. Ainsi, le parquet souhaite le voir condamné à la peine de 8 ans de prison au lieu de 6 ans au premier degré et à une amende de 126 millions, le tout fermes. Il a enfin requis la confirmation des peines rendues en premier degré à l’encontre de TIEGNAN Amidou, TARPAGA/OUEDRAOGO Pétronille, OUEDRAOGO Salifou. Au terme des réquisitions du parquet général, l’audience a été suspendue. Les débats reprendront demain vendredi 7 novembre 2025 à partir de 10 heures avec les plaidoiries des avocats des prévenus.  DCRP /MJDHRI

  • Jour 3 du procès en appel dans l’affaire TEIGNAN et autres : le préjudice financier de l’État en débat

    Jour 3 du procès en appel dans l’affaire TEIGNAN et autres : le préjudice financier de l’État en débat ‎(Mercredi le 5 novembre 2025). ‎Le procès en appel opposant le ministère public aux prévenus TIEGNAN Amidou, TARPAGA/OUEDRAOGO Pétronille, OUEDRAOGO Salifou et BAYOULOU Philippe, en ce troisième jour, a été consacré à l’audition des témoins et au rappel du préjudice financier déclaré à la charge des prévenus au détriment de l’État burkinabè. ‎À la barre, Soumaïla ZOROME, Secrétaire permanent du Conseil national de secours d’urgence et de réhabilitation (SP/CONASUR), ainsi que d’autres personnes citées à comparaître, ont été entendus en qualité de témoins. Leur contribution vise à éclairer la cour dans la recherche de la vérité et à permettre une juste appréciation des faits reprochés aux prévenus. ‎A la suite de l’audition des témoins, l’Agent judiciaire de l’État (AJE) a rappelé le montant du préjudice financier évalué au cours du jugement de première instance. Selon ses déclarations, le manque à gagner pour le Trésor public s’élève à cinq milliards quatre-vingt-trois millions neuf cent quatre-vingt-dix-neuf mille six cent quatre-vingt-quinze (5 083 999 695) francs CFA. Cette somme correspond aux sorties irrégulières de fonds opérées à travers divers chèques endossés par les quatre prévenus. ‎Pour rappel, en première instance, les prévenus TIEGNAN Amidou, TARPAGA/OUEDRAOGO Pétronille, OUEDRAOGO Salifou et BAYOULOU Philippe avaient été condamnés solidairement à verser à l’État burkinabè deux milliards cent trente-trois millions deux cent cinquante-deux mille (2 133 252 000) francs CFA au titre de réparation du préjudice financier subi. Ce montant avait été retenu par la juridiction, en dépit de l’évaluation initiale faite par l’AJE, estimant le préjudice réel à plus de cinq milliards de francs CFA pour la période allant de 2017 à 2024. Considérant cette décision comme insuffisamment motivée et non conforme aux pièces du dossier, l’AJE a aussi interjeté appel tout comme les prévenus. ‎À l’issue de ces échanges, l’audience a été suspendue. Les débats reprendront demain jeudi 6 novembre 2025 à partir de 10 heures et porteront notamment sur la démonstration du bien-fondé de l’évaluation du préjudice financier présenté par l’Agent judiciaire de l’État ainsi que sur sa constitution de partie civile. DCRP / MJDHRI

  • Civisme, patriotisme et participation citoyenne au pays des Hommes intègres : les acteurs en conclave pour élaborer une stratégie nationale.

    Civisme, patriotisme et participation citoyenne au pays des Hommes intègres : les acteurs en conclave pour élaborer une stratégie nationale. (Ouagadougou, 4 novembre 2025). Le Ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, à travers la Direction Générale de la Promotion de la Citoyenneté et de la Paix, a organisé un séminaire de cadrage, sur l’élaboration d’une Stratégie nationale de la promotion du civisme, de l’engagement patriotique et de la participation citoyenne. Les résultats d’une étude de 2019, conduite par le Ministère en charge des Droits humains révélaient que le niveau de participation citoyenne est très faible. Partant de ce constat il était donc urgent de raviver la fibre patriotique et la participation citoyenne de tous les burkinabè. Après plusieurs années de mise en œuvre des activités notamment au cours des journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne, l’heure est venue d’évaluer les acquis et proposer un référentiel unique en la matière. Ce séminaire a permis aux participants de partager leurs expériences respectives utiles à l’élaboration d’une stratégie nationale d’intervention en matière de civisme, de patriotisme et de citoyenneté agissante aux efforts de construction du Burkina Faso. Le discours d’ouverture a été prononcé par le Secrétaire général du Ministère de la Justice et des Droits humains, chargé des Relations avec les Institutions, Harouna KADIO. Il a invité l’ensemble des participants à s’investir pleinement à ce séminaire, afin de poser des jalons solides vers une Stratégie nationale. Au terme de deux jours de réflexion, les participants ont examiné les documents primitifs dans le but de rapporter un document holistique, plus accessible à tous les acteurs et au citoyen lambda. 𝗗𝗖𝗥𝗣-𝗠𝗝𝗗𝗛𝗥𝗜

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