Il se tient à Koudougou du 8 au 10 mai 2019, un atelier d’élaboration du plan de formation triennal 2019-2021 du ministère de la Justice.
Cet atelier offrira l’occasion de dresser le bilan global du plan de formation 2016-2018, de faire le bilan global du plan de formation 2016-2018, de valider les thèmes du plan de formation 2019-202, d’amender et de valider le projet d’arrêté portant création et fonctionnement des organes de management de la formation.
Il ressort du bilan global qu’en 2016, treize (13) thèmes ont été exécutés sur 43 retenus, soit un taux d’exécution de 30% et 8 de ces thèmes exécutés ont bénéficié de l’accompagnement des partenaires techniques et financiers. En 2017, sept (7) thèmes ont été exécutés sur 18 retenus, avec un taux d’exécution de 39%. En 2018, huit (8) thèmes ont été exécutés sur 10 retenus, soit un taux d’exécution de 80%.
En résumé, de 124 thèmes au départ, 71 ont été retenus, mais seulement 28 ont été effectivement exécutés. Ce qui donne un taux global d’exécution de 39,5%.
Le secrétaire général du ministère, Théophile Sawadogo qui présidé la cérémonie d’ouverture a rappelé que c’est dans le cadre de la modernisation de l’administration publique que le ministère s’est doté en 2016, d’un outil stratégique et efficace de développement des ressources humaines, a savoir un plan de formation continue du personnel. « Cet outil dynamique et consensuel est élaboré sur la base de l’ingénierie de la formation et d’écoute, de ce faite de l’expression des besoins en compétences des agents, traduits en thèmes de formation », a relevé le secrétaire général.
Il a invité les participants à mener des échanges rigoureux afin de présenter un plan de formation 2019-2021qui prennent en compte les besoins de toutes les entités du département en charge de la Justice.
Théophile Sawadogo qui a salué le Programme de modernisation de l’administration publique (PMAP) pour son soutien, avait à ses côtés, le secrétaire permanent de la modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance, Jacques Sosthène Dingara et le directeur des ressources humaines, Mathieu W. Compaoré.
Pour un plan consensuel, toutes les structures du ministère sont présentes à l’élaboration.
Karamogo DIABAGATE